Joyce Jonathan: « Thomas et moi sommes restés amis »

Entre deux entraînements de l’émission Danse avec les stars, Joyce Jonathan, séparée de Thomas Hollande, nous a reçus dans son QG familial, en plein coeur du quartier latin.

Gala: Vous avez dit « les gens de ma génération s’interrogent très tôt sur le fait d’être en couple ou pas, d’avoir des enfants ou pas ». C’est votre cas?

Joyce Jonathan:Si à trente-cinq ans (elle en a vingt-quatre, ndlr), je n’ai pas d’enfants ni de compagnon, je flipperais sans doute. Mais aujourd’hui, absolument pas. Quand j’étais plus jeune, j’étais obsédée par le temps qui passe, j’étais nostalgique. Je le suis beaucoup moins. Comme je suis comblée par ma vie professionnelle, j’ai peut-être moins d’envie de ce côté-là.

Gala: A quel moment sentez-vous qu’une histoire doit se terminer?

J.J.: Ah ça, c’est ce qu’il y a de plus difficile. Il ne faut pas lâcher au moindre doute, mais en même temps, il faut sentir quand on est arrivé au bout d’une histoire. C’est tentant de laisser traîner une situation au nom du confort, pour se garder l’autre sous le coude en se disant que ça repartira peut-être. Au final, ça ne rend pas heureux. Quand ces temps-morts arrivent au bout d’un an, un an et demi, c’est mauvais signe. C’est que ce n’est sans doute pas le bon. L’amour dure trois ans veut peut-être dire que l’on a puisé tout ce que l’on avait à puiser chez l’autre mais que ce n’était pas du vrai amour.

Gala:Vous avez récemment confirmé votre rupture d’avec Thomas Hollande. Comment faire le deuil d’une histoire qui s’achève?

J.J.: Je suis généralement d’abord dans le déni, même si je suis dévastée. Je me répète: « Ça va, c’est pas si grave », avec la gorge nouée. Et puis d’un coup, tout sort. Je pleure toutes les larmes de mon corps et j’écris une chanson. Mais notre séparation n’est pas récente, elle date de six mois. Le temps a fait son œuvre. Thomas et moi sommes restés amis. Aujourd’hui, on a une relation très saine. J’apprécie ses qualités humaines, ce qu’il est. Je suis heureuse de l’avoir dans mon entourage.

Gala: En 2011, vous avez déclaré: « Thomas Dutronc est mon idéal masculin français, beau, talentueux. » Désormais célibataire, allez-vous tenter votre chance?

J. J.: Ah non, encore un Thomas! (Rires.) J’ai dit ça il y a quatre ans. A l’échelle de ma vie, c’est énorme… D’ailleurs Thomas Dutronc m’avait envoyé un message après l’avoir lu, on en rigole…

Gala: Quel fantasme masculin l’a remplacé depuis?

J.J.:Pio Marmaï!

Demain dans Gala retrouvez l’interview complète de Joyce Jonathan dans laquelle elle raconte le lien qu’elle entretien avec sa mère, et évoque sa récente rupture.

Crédits photos : Benjamin Decoin