Si le nombre d’hommes victimes de troubles de l’érection est de plus en plus fréquent en France il leur ait toujours aussi difficile d’en parler, révèle une enquête Ifop. Voici le top 5 des excuses des hommes en cas de petite panne au lit.
En 2019, 61% des hommes ont déjà vécu un
problème d’érection au cours de leur vie contre 49% en 2010 et 44% en 2005, expose une étude Ifop menée pour la Start-up Charles.co, une plateforme de santé dédiée aux troubles de l’érection. Le but ? “Faire un état des lieux des problèmes érectiles et lever le voile sur ce tabou”.Effet, même si on parle de plus en plus, les troubles de l’érection restent difficiles à aborder.60% ont déjà donné une excuse pour masquer le problèmeAu cours de cette enquête 1 957 personnes représentatives de la population française masculine âgées de plus de 18 ans ont répondu à un questionnaire. On y apprend donc qu’en cas de problème d’érection, 1 Français sur 3 a déjà menti à sa partenaire pour “masquer le problème”. Un gêne encore plus prononcée chez les hommes de moins de 30 ans “qui sont 60% à avoir déjà donné une fausse excuse à leur partenaire” rapporte le sondage. Quelles genres d’excuses les hommes inventent-ils en cas de petite panne au lit ?
- La fatigue(78% )
- Le
stress(63%)
- Un excès de nourriture ou d’alcool (47%)
- La proximité d’autres personnes (43%)
- Un mal de tête ou une migraine (31%)
Selon François Kraus,directeur du pôle “genre, sexualité et santé sexuelle”, le tabou autour des troubles de l’érection est essentiellement problématique parce que 56% des Françaises considèrent “qu’un rapport sexuel doit impliquer une
pénétration pour être pleinement satisfaisant”. Les hommes victimes de troubles sexuels se sentent incapables de donner du plaisir à leur partenaire alors que beaucoup d’autres moyens existent.Troubles érectiles : 3/4 des hommes de consultent pas Et il n’y a pas qu’à leur partenaire que les hommes n’osent pas en parler. Le sondage révèle que “¾ des hommes ayant déjà rencontré des problèmes d’érection au cours de leur vie n’ont jamais consulté”. Pourtant des solutions médicales existent et 56% des hommes ayant participé au sondage ont répondu être prêts à les tester. Pourquoi ne le font-ils pas ? Par crainte d’un manque d’effets secondaires pour 39% des hommes interrogés et parce qu’ils sont souvent chers pour 20% d’entre-eux.Click Here: collingwood magpies 2019 training guernsey